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À la Une: adieu 2024, bonjour 2025 !

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Le passage à la nouvelle année fait la Une des journaux, ce mercredi 1er janvier 2025. Certains remarquent toutefois que les fêtards sont de plus en plus sages, comme le Financial Times, « les clubbers des capitales mondiales de la fête rentrent chez eux plus tôt », nous dit-on. En Allemagne, on parle même de clubsterben - la mort des clubs. Le quotidien britannique prend l'exemple du Watergate. Cette boîte berlinoise vient de fermer définitivement, après avoir accueilli toute la nuit ses derniers fêtards.

Le Financial Times, qui aime bien les chiffres, a même fait ses calculs. « La proportion des soirées en boîte de nuit se prolongeant au-delà de 3 heures du matin a diminué dans 12 des 15 » capitales de la vie nocturne. Selon le journal, c'est dû notamment à la « popularité croissante des événements et festivals en journée ». Les fameux millenials préfèrent les événements festifs entre «17 et 22 heures ».

Les journaux ce matin sont surtout illuminés de feux d'artifice, pour célébrer la nouvelle année. En images, et même en vidéo, le New York Times montre comment le monde a fêté son passage à la nouvelle année. On voit des feux orangés au-dessus de la Porte de Brandebourg à Berlin, un Arc de Triomphe étincelant à Paris ; Big Ben, lui aussi est encadré d'un bouquet final rougeoyant ... le journal américain montre aussi des Syriens de Damas, sourire aux lèvres, en train, eux aussi, de lancer des feux d'artifice.

2025 sans Bachar el-Assad en Syrie

Les Syriens entament leur première année sans Bachar el-Assad depuis 25 ans et ils sont pour la plupart soulagés. La Croix parle même d'une certaine « euphorie ». Le journal français publie un reportage à Damas où « les clients ont retrouvé le sourire », devant une « boulangerie subventionnée ». « Avant on n'avait le droit qu'à sept galettes, désormais c'est douze, se réjouit un grand-père » qui repart les bras pleins.

Les « camions de farine et de combustible alimentent boulangeries et stations essences », observe le journal. Le nouveau pouvoir ferme aussi les yeux sur « les vendeurs de carburant de contrebande en provenance du Liban ».

Une nouvelle année déjà peu réjouissante, pour certains journaux

Les journaux ne sont pas forcément enthousiastes, à l'idée d'entrer en 2025. « L'année de tous les dangers », titre même El Pais dans un édito. Le journal espagnol pense surtout au retour au pouvoir du « capricieux, erratique et toujours perturbateur Donald Trump », aux États-Unis. Justement, le président élu, qui prendra ses fonctions le 20 janvier à Washington, fera face à une période de « faiblesse européenne », estime El Pais, « en raison de la précarité politique des deux principales puissances » : l'Allemagne qui attend des législatives anticipées et la France, avec « la fragilité du gouvernement de François Bayrou ».

« L'Europe, au bord du gouffre, est confrontée à une accumulation de menaces à l'horizon 2025 », confirme le Washington Post qui remarque lui aussi que l'Allemagne et la France « semblent pour l'instant pratiquement ingouvernables, leurs partis de centre-gauche et de centre-droit étant discrédités ».

En France, le mea culpa d'Emmanuel Macron

Emmanuel Macron « admet les ratés de la dissolution », écrit Le Figaro. « Un premier mea culpa sur la dissolution de l'Assemblée nationale », rebondit Le HuffPost. Le président a reconnu que sa décision de dissoudre cette Assemblée « a produit plus d'instabilité que de sérénité ».

Le journal L'Humanité reconnaît à Emmanuel Macron « une forme d'autocritique », mais lui inflige cette appréciation : « peut mieux faire » et s'agace par exemple d'un « énième satisfecit concernant la réouverture de Notre-Dame ».

Enfin, « comme ses pouvoirs, raille Libération, les vœux d'Emmanuel Macron rétrécissent ». L'allocution a duré « moins de onze minutes, de loin la plus courte depuis 2017 », note le journal.

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Le Financial Times, qui aime bien les chiffres, a même fait ses calculs. « La proportion des soirées en boîte de nuit se prolongeant au-delà de 3 heures du matin a diminué dans 12 des 15 » capitales de la vie nocturne. Selon le journal, c'est dû notamment à la « popularité croissante des événements et festivals en journée ». Les fameux millenials préfèrent les événements festifs entre «17 et 22 heures ».

Les journaux ce matin sont surtout illuminés de feux d'artifice, pour célébrer la nouvelle année. En images, et même en vidéo, le New York Times montre comment le monde a fêté son passage à la nouvelle année. On voit des feux orangés au-dessus de la Porte de Brandebourg à Berlin, un Arc de Triomphe étincelant à Paris ; Big Ben, lui aussi est encadré d'un bouquet final rougeoyant ... le journal américain montre aussi des Syriens de Damas, sourire aux lèvres, en train, eux aussi, de lancer des feux d'artifice.

2025 sans Bachar el-Assad en Syrie

Les Syriens entament leur première année sans Bachar el-Assad depuis 25 ans et ils sont pour la plupart soulagés. La Croix parle même d'une certaine « euphorie ». Le journal français publie un reportage à Damas où « les clients ont retrouvé le sourire », devant une « boulangerie subventionnée ». « Avant on n'avait le droit qu'à sept galettes, désormais c'est douze, se réjouit un grand-père » qui repart les bras pleins.

Les « camions de farine et de combustible alimentent boulangeries et stations essences », observe le journal. Le nouveau pouvoir ferme aussi les yeux sur « les vendeurs de carburant de contrebande en provenance du Liban ».

Une nouvelle année déjà peu réjouissante, pour certains journaux

Les journaux ne sont pas forcément enthousiastes, à l'idée d'entrer en 2025. « L'année de tous les dangers », titre même El Pais dans un édito. Le journal espagnol pense surtout au retour au pouvoir du « capricieux, erratique et toujours perturbateur Donald Trump », aux États-Unis. Justement, le président élu, qui prendra ses fonctions le 20 janvier à Washington, fera face à une période de « faiblesse européenne », estime El Pais, « en raison de la précarité politique des deux principales puissances » : l'Allemagne qui attend des législatives anticipées et la France, avec « la fragilité du gouvernement de François Bayrou ».

« L'Europe, au bord du gouffre, est confrontée à une accumulation de menaces à l'horizon 2025 », confirme le Washington Post qui remarque lui aussi que l'Allemagne et la France « semblent pour l'instant pratiquement ingouvernables, leurs partis de centre-gauche et de centre-droit étant discrédités ».

En France, le mea culpa d'Emmanuel Macron

Emmanuel Macron « admet les ratés de la dissolution », écrit Le Figaro. « Un premier mea culpa sur la dissolution de l'Assemblée nationale », rebondit Le HuffPost. Le président a reconnu que sa décision de dissoudre cette Assemblée « a produit plus d'instabilité que de sérénité ».

Le journal L'Humanité reconnaît à Emmanuel Macron « une forme d'autocritique », mais lui inflige cette appréciation : « peut mieux faire » et s'agace par exemple d'un « énième satisfecit concernant la réouverture de Notre-Dame ».

Enfin, « comme ses pouvoirs, raille Libération, les vœux d'Emmanuel Macron rétrécissent ». L'allocution a duré « moins de onze minutes, de loin la plus courte depuis 2017 », note le journal.

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