Player FM - Internet Radio Done Right
Checked 1+ y ago
Toegevoegd vier jaar geleden
Inhoud geleverd door Dialogue RCF. Alle podcastinhoud, inclusief afleveringen, afbeeldingen en podcastbeschrijvingen, wordt rechtstreeks geüpload en geleverd door Dialogue RCF of hun podcastplatformpartner. Als u denkt dat iemand uw auteursrechtelijk beschermde werk zonder uw toestemming gebruikt, kunt u het hier beschreven proces https://nl.player.fm/legal volgen.
Player FM - Podcast-app
Ga offline met de app Player FM !
Ga offline met de app Player FM !
Poulitiqueja - l'entretien politique
Markeer allemaal (on)gespeeld ...
Manage series 2919917
Inhoud geleverd door Dialogue RCF. Alle podcastinhoud, inclusief afleveringen, afbeeldingen en podcastbeschrijvingen, wordt rechtstreeks geüpload en geleverd door Dialogue RCF of hun podcastplatformpartner. Als u denkt dat iemand uw auteursrechtelijk beschermde werk zonder uw toestemming gebruikt, kunt u het hier beschreven proces https://nl.player.fm/legal volgen.
"Poulitiqueja" en provençal signifie "causerie politique". C'est ce que souhaite être cette émission : un échange avec un ou une élu(e) du territoire, sur les actions portées mais aussi sur les ressorts de cet engagement politique, dans un cadre bienveillant et cordial. Retrouvez toutes nos émissions sur le site https://rcf.fr/ Et toute l'actualité en Provence en direct sur https://rcf.fr/ecouter/RCF13 A Marseille et Aubagne sur le 89.6 FM A Aix et l'étang de Berre sur le 101.9 FM
…
continue reading
48 afleveringen
Markeer allemaal (on)gespeeld ...
Manage series 2919917
Inhoud geleverd door Dialogue RCF. Alle podcastinhoud, inclusief afleveringen, afbeeldingen en podcastbeschrijvingen, wordt rechtstreeks geüpload en geleverd door Dialogue RCF of hun podcastplatformpartner. Als u denkt dat iemand uw auteursrechtelijk beschermde werk zonder uw toestemming gebruikt, kunt u het hier beschreven proces https://nl.player.fm/legal volgen.
"Poulitiqueja" en provençal signifie "causerie politique". C'est ce que souhaite être cette émission : un échange avec un ou une élu(e) du territoire, sur les actions portées mais aussi sur les ressorts de cet engagement politique, dans un cadre bienveillant et cordial. Retrouvez toutes nos émissions sur le site https://rcf.fr/ Et toute l'actualité en Provence en direct sur https://rcf.fr/ecouter/RCF13 A Marseille et Aubagne sur le 89.6 FM A Aix et l'étang de Berre sur le 101.9 FM
…
continue reading
48 afleveringen
Alle afleveringen
×Gérard Bramoullé est premier adjoint au maire d’Aix mais aussi président du Conseil de Territoire du Pays d’Aix. Il revient sur les enjeux pour Aix en Provence et le Pays d’Aix dans le cadre de la réforme de la Métropole et confie les grands sujets aixois de 2022. Des sujets qu’il porte avec l’engagement d’« un soldat ».…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Gérard Gazay est maire d'Aubagne. Il évoque les grands chantiers à venir de la ville : aménagement du ValTram et du Bus à haut niveau de service (BHNS) jusqu'à Gémenos, le nouvel hôpital, la "reconquête" du centre-ville. Beaucoup de travaux, mais "c'est le prix à payer pour dessiner Aubagne et tout le territoire pour les 20 années qui viennent" selon le maire. Gérard Gazay revient aussi sur l'Institut international des musiques du monde et l'enjeu culturel à Aubagne, ou encore la thématique de l'emploi et du développement économique qu'il accompagne en tant que vice-président du Département des Bouches-du-Rhône et de la Métropole Aix-Marseille-Provence.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Véronique Miquelly est maire d'Auriol, conseillère métropolitaine et vice-présidente du Département. Elle est l'invitée de RCF pour évoquer ses actions pour Auriol : cadre de vie, agriculture, jeunesse, handicap ou encore patrimoine, notamment le patrimoine religieux : la commune vient notamment de racheter la chapelle Sainte Catherine, laissée à l'abandon par le diocèse de Marseille, pour lui redonner ses couleurs d'antan.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Jean-Marc Coppola est adjoint au maire de Marseille en charge de la culture. Dans cet entretien, il revient sur les actions qu'il porte et explique sa conception de la culture, non sans lien avec cet idéal de fraternité reçu dans sa famille et son enfance dans les quartiers nord de Marseille.
Eric Le Dissès est maire de Marignane. Car Marignane n'est pas qu'un aéroport, c'est un village, fier de ses traditions provençales que le maire entend défendre à l'occasion des fêtes de Noël. Dans cet entretien, il revient aussi sur ses engagements pour les JO 2024, l'Etang de Berre ou encore la requalification du centre-ancien de sa commune. Un maire passionné, allergique aux "ayatollahs de l'écologie" et de l'écriture inclusive.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Emmanuelle Michel reçoit Anne Rudisuhli conseillère départemental pour La République en Marche, chargée des affaires européennes.
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Député En Marche de la 8e circonscription des Bouches-du-Rhone, sur un territoire allant de Salon de Provence aux rives de l'Etang-de-Berre jusqu'à Saint-Chamas, Marc Zulesi terminera bientôt son premier mandat. Parmi les sujets qu'il a porté devant le parlement : la mobilité active et la réhabilitation de l'Etang-de-Berre. A quelques mois de la fin de la mandature, Emmanuelle Michel reçoit Jean-Marc Zulesi pour faire un point sur les actions menées pendant son premier mandat de député. Favoriser la mobilité douce et active Jean-Marc Zulesi a, entre autre, porté une mission d'information sur la mobilité active, qui concerne les personnes porteuses de handicap et les personnes âgées. "l'objectif c'est de porter des propositions concrètes" résume Jean-Marc Zulesi qui évoque volontiers l'exemple des pays nordiques où la marche et le vélo sont plus développer, comme exemples à prendre. L'idée c'est de rendre la perte d'autonomie la plus tardive possible, la marche et le vélo participe de cette volonté. Il faut peut-être centraliser toutes les études réalisées et soutenir de manière plus ambitieuse des initiatives locales. Au niveau local, peu de pistes cyclables développées. Pour le député " il ne suffit pas de mettre un coup de peinture par terre ", mais il faut réfléchir à de véritables parcours, qui favorisent les modes de transports doux, et actifs, ce qui permettrait dans le même temps de décongestionner les grands axes routiers. Il rappelle le plan d'investissement d'un milliard d'euros promis par Emmanuel Macron, dans le cadre du plan Marseille en Grand. " Au-delà des discours, nous avons embrayé le pas pour les traduire en actions concrètes ." Jean-Marc Zulesi n'oublies pas les autres modes de transport, comme le maritime et le ferroviaire, qu'il faudra développer main dans la main entre la région et la Métropole selon lui. Réhabiliter l'etang de Berre Alors que la France s'apprête à prendre la présidence de l'Union Européenne, Jean-Marc Zulesi voit dans la réhabilitation et la protection de lagunes comme l'Etang de Berre un enjeu européen. Dans le cadre de mon mandat, je pense que j'oeuvre utilement à l'amélioration de la vie des gens, sur ces sujets de développement durable, de transports et d'aménagement du territoire. Parmi les prochains changements visibles auxquels il fait référence : l'engagement de diminuer la quantité d'eau douce déversée dans l'étang par la station hydraulique, afin de permettre le maintient d'une salinité de l'eau suffisante pour préserver l'écosystème.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Députée de la 14e circonscription des Bouches-du-Rhône, à Aix-en-Provence, Anne-Laurence Petel est rapporteur de la mission d'information relative aux entreprises en difficulté, à cause de la crise sanitaire. Au micro d'Emmanuelle Michel Anne-Laurence Petel dresse un bilan de la situation des entreprises après deux ans de pandémie et de l'application du plan de relance promis par le gouvernement. Exonérations et reports de charges, chômage partiel ou le fond de solidarité : les dispositifs de protection des entreprises n'ont pas manqué depuis le début de la crise sanitaire. Mieux accompagner les entreprises Sur une initiative parlementaire, un diagnostic de la santé des TPE-PME a été réalisé pour anticiper les conséquences des confinements mais aussi pour préparer la sortie de crise. On observait 50 000 défaillances d'entreprises chaque année avant la crise. Ce sont 40% de moins en 2020, grâce aux dispositifs d'Etat. Le bilan est donc plutôt positif selon Anne-Laurence Petel. Lorsqu'elles sont en difficulté les entreprises n'osent pas demander de l'aide " c'est une situation de déni, les chefs d'entreprises ne veulent pas accepter l'échec, c'est ça qu'il faut réussir à résoudre ." Selon Anne-Laurence Petel, à 95%, lorsque les TPE-PME passent la porte du tribunal de commerce, c'est pour une liquidation judiciaire, alors qu'une prise en charge en amont des problèmes pourraient permettre d'éviter de tels recours. On s'est rendu compte que lors de réunions de créanciers publics, les chefs d'entreprises étaient laissés de côté, on ne traitait que des dossiers. Pour Anne-Laurence Petel l'aspect humain et psychologique est essentiel et doit retrouver une place de choix dans la résolution de problèmes. Dans cette idée les groupements de prévention agréées (GPA) doivent être mieux valorisés dans l'accompagnement des entreprises. Ces GPA existent depuis une loi de 1984 mais sont tout juste mis en place par la CPME en PACA. L'intérêt de ce dispositif est la parole d'un chef d'entreprise à un autre chef d'entreprise, pour une relation moins administrative et plus humaine. Soutenir l'agricutlure Outre les entreprises, Anne-Laurence Petel porte aussi, dans le cadre de la commission des affaires économiques, les intérêts de des agriculteurs en Provence. Deux enjeux sont au coeur de la réflexion qu'elle mène au Sénat : la souveraineté alimentaire et l'accès au foncier agricole pour la prochaine génération d'agriculteurs. Un projet de loi sera prochainement présenté devant le Parlement pour favoriser le partage des terres agricoles. L'artificialisation des sols est autre défi qu'évoque Anne-Laurence Petel. Les bouches-du-Rhône font partie des pires départements dans notre région selon la députée aixoise. Elle fait également le constat que les espaces forestiers sont plutôt bien protégés mais ce n'est pas le cas des terres agricoles, qui doivent faire l'objet d'une attention particulière.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

"Un tournant historique" : c'est ainsi que Martine Vassal, présidente de la Métropole Aix-Marseille-Provence, évoque l'amendement de la loi de finances 2022 qui a validé un financement d' un milliard d'euros en faveur du développement des transports en commun sur le territoire de la Métropole. "La Métropole est l'échelon institutionnel qui doit porter un tel chantier" et rendez-vous est donné en décembre pour le vote du plan de déplacements urbains. Tramway, bus à haut niveau de service (BHNS), parking relais, trains : les projets et les calendriers vont donc être définis "et pas uniquement pour Marseille . Certes, il faut désenclaver les quartiers nord de la ville, mais penser aussi aux habitants d'Istres, d'Aubagne ou de Miramas qui eux aussi se déplacent sur le territoire." Sur la table aussi, la question de la desserte de l'aéroport de Marignane ou encore la transformation de la gare Saint-Charles : "Aujourd'hui, elle est engorgée à cause des TGV. Une nouvelle gare souterraine va permettre d'accueillir ces TGV de la nouvelle ligne Paris-Nice, et les voies ainsi libérées permettront de renforcer le trafic de trains régionaux." Mais Martine Vassal, qui est aussi président du Département des Bouches-du-Rhône, le rappelle : On n'a pas attendu ce milliard pour se mettre au travail et le Département a déjà dépensé 500 millions d'euros pour améliorer les transports, par exemple avec la création du BHNS d'Aix-en-Provence, l'aménagement des voies réservées sur l'autoroute ou l'achat de bus à double étage." Pour Martine Vassal, cet intérêt de l'Etat et du gouvernement pour la Métropole est un soulagement : "Cela reposera moins sur le Département et permettra d'aller plus vite sur des projets qui n'ont pris que trop de retard." Aller plus vite sera aussi possible à condition que la Métropole se recentre sur des compétences stratégiques : "Notre Métropole s'est constituée à partir de six territoires qui avaient des fonctionnements, des attentes, des centres d'intérêts différents. Toute a été regroupé et les lieux de décisions se sont éloignés des lieux d'actions." Pour Martine Vassal, il fallait que cela change et c'est ce qui est en train de se passer : "Avec les 240 élus de la Métropole, je souhaite que nous nous concentrions sur le développement économique, l'aménagement du territoire, la mobilité, le logement, l'environnement et que dans ces domaines, nous portions les sujets de A à Z." Les autres compétences de proximité devraient donc revenir aux communes... sauf pour celles qui ne le souhaiteraient pas : "Nous réfléchissons à comment mieux accompagner les maires par bassins de vie." Une Métropole qui, créée en 2016, vit l'étape 2 de son histoire... avant l'étape 3 qui sera la fusion avec le Département ? Un projet lancé, puis arrêté, puis repris. "Ne mettons pas la charrue avant les boeufs, occupons-nous d'abord de mettre la Métropole sur de bons rails et laissons le Département rester le fer de lance de la solidarité sur le territoire." Une solidarité pour laquelle l'institution départementale a été largement sollicitée depuis ces deux ans de pandémie : "Le Département a fait la démonstration de sa capacité d'agir. La Métropole doit faire de même aujourd'hui."…
Laurent Simon est maire de Plan-de-Cuques, élu l'an passé après avoir passé douze ans dans l'opposition. Un mandat grâce auquel il souhaite faire vivre l'esprit de village, renforcer la sécurité des habitants, préserver les collines qui représentent 60 % du territoire de la commune et encourager la transmission des traditions qui "n'ont rien de passéiste", au contraire.…
Lionel de Cala est maire d’Allauch. Son élection, contestée jusqu’alors, vient d’être confirmée par le Conseil d’Etat. L’occasion pour lui de venir sur RCF évoquer les sujets qu’il porte depuis son élection à la mairie d’Allauch. Lionel de Cala évoque aussi son mandat de conseiller départemental en charge de la vie associative. Il avait dit qu’il ne craignait pas l’annulation et il avait raison : Lionel de Cala vient de voir son élection comme maire d’Allauch confirmée par le Conseil d’Etat , qui n’a donc pas suivi l’avis du rapporteur public. « Nous avons été élus avec 60% des voix, nous avions une très nette avance, nous étions les seuls à proposer un vrai projet pour défendre Allauch et préserver notre cadre de vie » rappelle sur RCF Lionel de Cala. Défendre Allauch , c’est préserver notre environnement et en même temps « profiter de tous les avantages qu’apporte la Métropole et la grande ville qui est juste à côté » - Marseille – en matière de développement économique, de transports, de voirie. Il faut trouver un bon équilibre entre ce que la Métropole offre et le souci de résister à la pression de l’urbanisation par exemple. « Il faut que les enfants d’Allauch qui ont grandi ici puissent rester vivre ici » , mais les loyers sont de plus en plus chers et la pression foncière est vive. Pour Lionel de Cala, il faut donc faire du logement social mais attribuer les logements sociaux prioritairement aux familles originaires de la commune. Egalement limiter les constructions d’immeubles, le nombre d’habitants accueillis chaque année – Allauch a accueilli 2000 nouveaux habitants en cinq ans - , pour éviter une surcharge des routes, des écoles et, à terme, une baisse de la qualité de vie. Notre environnement est préservé mais il faut être d’une vigilance extrême et dans une grande proximité avec les habitants, pas un jour où je ne suis pas sur le terrain, la semaine, le week-end, le soir. Pour Lionel de Cala, c’était l’enjeu n°1 auquel il a voulu répondre en remettant le bureau du maire sur la place du village . Mais beaucoup d’autres enjeux concernent Allauch : la préservation des 4 000 hectares de colline ou encore la végétalisation des espaces urbains, comme avec ce « jardin sans fin » du lycée Monte Cristo jusqu’au Logis Neuf, en passant par les six noyaux villageois, avec notamment la voie cyclable sur l’avenue de Provence. Mais Allauch, c’est aussi les traditions provençales , avec un tissu associatif fort, la fameuse crèche qui retrouve sa place d’antan au vieux bassin et sera inaugurée le 13 novembre, la descente des bergers aux flambeaux à l’occasion de Noël, la sensibilisation à la langue provençale dans les écoles, le futur site dédié à Marcel Pagnol dans l’ancienne usine électrique à l’entrée du village, future vitrine régionale à vocation culturelle : Ces lieux et ces moments de convivialité, ça fait partie de l’histoire de la commune et de toute la Provence. La Saint Clair, la Saint Jean, la Saint Laurent, je défends tous ces rendez-vous pour ma commune et pour tout le département des Bouches-du-Rhône. » Au sein de l’institution départementale justement, Lionel de Cala est conseiller en charge de la vie associative : « On va augmenter le soutien des associations qui valorisent et transmettent la culture provençale, c’est la volonté de Martine Vassal et de toute l’équipe départementale ».…
Pierre-Marie Ganozzi est adjoint au maire de Marseille en charge des écoles. C'est lui qui va piloter le "chantier pharaonique" annoncé par le maire Benoît Payan : 1,2 milliards d'euros pour venir à la rescousse des écoles marseillaises, parmi lesquelles 174 sont dans une situation préoccupante. Un vaste problème... qui pourrait devenir une opportunité : ce chantier pourrait créer, en 9 ans, 14 000 emplois et générer 2,27 milliards d'euros de retombées économiques. « On fait face à des décennies d’abandon et les quartiers nord ont été largement oubliés : il s’agit pour nous de rétablir une égalité républicaine. Et on va mettre plus de moyens pour les quartiers nord pour rattraper le retard ! » Pierre-Marie Ganozzi, adjoint au maire de Marseille en charge des écoles, est toujours prof d’histoire-géo en collège à Château-Gombert, mais il se retrouve désormais à piloter ce chantier immense de la rénovation des écoles marseillaises : 1,2 milliards d’euros pour un tiers des écoles de la ville qui sont dans un état préoccupant. 814 millions d'euros seront notamment affectés aux 174 écoles (sur 472) où la situation est la plus urgente, en plus de 30 millions d’euros déjà engagés par la nouvelle majorité municipale lors de son arrivée à la mairie. "Depuis 1960, il n’y a pas eu un chantier de si grande ampleur à Marseille, pour remettre à flot la totalité des écoles ." Premier enjeu : la rénovation et la mise aux normes des bâtiments les plus dangereux. Mais aussi, la réhabilitation écologique des établissements et l’extension d’écoles trop petites. Et enfin, la construction de 28 nouvelles écoles . « Il y a des quartiers qui se vident, d’autres qui se remplissent, et il faut nous adapter. Dans certaines écoles, des élèves en difficulté sont contraints de travailler dans les couloirs tant la place manque. Des écoles n’ont plus de bibliothèque ou d’accueil car ces espaces ont été transformés en salle de classe » , déplore l’élu. Pour répondre à ce défi, l’Etat aussi va mettre la main à la poche, comme l’a annoncé le président Macron en septembre à Marseille. Jeudi 28 octobre, l'Assemblée nationale vient justement de voter une enveloppe de 254 M€ pour participer au financement du chantiers des écoles marseillaises. « On va faire un partenariat public-public, 50-50 » explique Pierre-Marie Ganozzi, qui s’était fait connaître par le passé pour son opposition aux partenariats publics-privés de l’ancienne municipalité. L’occasion de faire travailler des entreprises locales et les acteurs du bâtiment ont d’ailleurs déjà été sollicités par la mairie de Marseille. Autre partenariat avec… l’armée : Marseille sera la première ville à utiliser un outil de gestion prédictive permettant d'anticiper le vieillissement du bâti scolaire utilisé par le ministère de la Défense. « Nos trois défis, c’est sécuriser les enfants, rassurer les parents et permettre aux enseignants de travailler dans les meilleures conditions possibles. Je suis moi-même toujours enseignant, ce qui me permet de garder le contact avec la réalité, et de mettre mon enthousiasme au service de toutes les écoles de la ville. »…
Lionel Royer-Perreaut est maire des 9e et 10e arrondissements, il est aussi président de 13 Habitat, bailleur social du Département. Sur RCF, il évoque les défis auxquels il est confrontés pour continuer d'accueillir des locataires dans les logements sociaux, entretenir et sécuriser les résidences et en construire de nouvelles. Lionel Royer-Perreaut , maire des 9e et 10e arrondissements de Marseille , est aussi président de 13 Habitat , bailleur social public du Département des Bouches-du-Rhône . Avec 33 600 logements à gérer, c'est le plus gros bailleur social public de la région. À la tête de ce grand navire, Lionel Royer-Perreaut relève ce défi de gouvernance : “ La maison a une responsabilité, celle de produire du logement social abordable pour toutes et tous. Mais c’est également entretenir ce patrimoine colossal .” Malgré les enjeux, la mission reste passionnante pour le président de 13 Habitat par sa proximité avec l’humain. “ Le logement fait partie des premières préoccupations des Français .” La transparence, le renouvellement des marchés, la réhabilitation des bâtiments déjà existants et la production de logements sociaux sont les principaux défis de Lionel Royer-Perreaut . “ Dans un contexte social qui a beaucoup changé, les demandes ont explosé alors que la production reste faible .” Autre défi de taille : celui des trafics en tous genres qui minent la vie des quartiers et de leurs habitants. Face à leur emprise, 13 Habitat a été obligé de réorganiser sa présence sur le terrain, quitte à fermer des bureaux quand les agents étaient trop souvent agressés et faisaient valoir leur droit de retrait. Les habitants se sentent abandonnés et je les comprends. Il faut augmenter les arrestations, les contrôles, les saisies, mais ça ne suffit pas. Le système se régénère aussitôt. Pourquoi ne pas créer un corps intermédiaire entre la police de proximité et les gendarmes mobiles, un nouveau corps avec des anciens militaires ou policiers, qui aurait pour but de "tenir la même cité", sur un temps long ? C'est essentiel si on veut récupérer ces territoires. Pour Lionel Royer-Perreaut, il faut pour cela un effort de l'Etat mais aussi de la ville : celui qui est dans l'opposition en mairie centrale n'hésite pas à tacler l'équipe de Benoît Payan, maire de Marseille, qui, selon lui, "favorise le misérabilisme" dans la cité phocéenne. Le maire du 9-10 réclame d'ailleurs qu'à la faveur des réflexions métropolitaines, davantage de compétences soient accordées aux mairies de secteur. Il l'a d'ailleurs écrit dans une lettre adressée au président de la République lui-même.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Marion Bareille est maire des 13e et 14e arrondissements de Marseille. Issue de la société civile, et sans aucune expérience politique auparavant, elle se bat désormais pour renforcer la sécurité sur son secteur, le plus grand de Marseille (160 000 habitants), et valoriser ces quartiers où se joue, à ses yeux, l'avenir de la ville. Marion Bareille, élue Les Républicains, revient sur ses engagements pour les 13ème et 14ème arrondissement. L’enjeu central : la sécurité . Pour l’élue, cela doit passer par l’éducation et une présence soutenue des forces de l’ordre. Actuellement, la police municipale est peu présente. On compte 2 postes de polices en piteuse état et 20 policiers pour tout le secteur. Un nouveau commissariat devrait voir le jour prochainement avec une équipe de 96 policiers. Marion Bareille le souligne : On a vraiment ce sentiment d'insécurité aujourd'hui et on ne peut pas à vivre avec cette boule au ventre Marion Bareille explique son rôle en tant que maire de secteur. Élu de proximité, sa mission principale est d’alerter la mairie centrale sur les problématiques locales. Souvent cantonné à un rôle consultatif, le maire de secteur est surtout là pour recueillir les doléances de la population. Marion Bareille regrette de ne pas avoir plus de compétences : " on a un peu l'impression d'être boîtes aux lettres ". Vers plus de dialogue avec la mairie centrale ? Elle aimerait avoir plus d’échanges avec la maire de Marseille, Benoît Payan, et pouvoir travailler main dans la main avec la Ville, en mettant de côté les étiquettes politiques. Malgré une sale réputation qui lui colle à la peau, le secteur 13/14 a de nombreux atouts. Il est celui qui compte le plus de jeunes dans toute la ville. On ne recense pas moins de 118 écoles. Comme le rappelle la maire, “ si la jeunesse est là, l’avenir aussi ”. Le tissu associatif est riche, les entreprises innovantes, les clubs sportifs sont nombreux et les institutions culturelles commencent à venir s’installer dans le secteur. Le gros problème du secteur reste encore la circulation automobile mais Marion Bareille assure que la métropole est en train d’étudier le sujet. Elle critique aussi la politique urbanistique qui concentre les constructions dans les mêmes secteurs sans régler les problèmes déjà existants sur place. Pour finir, elle revient sur ces racines catholiques et assure qu’il faut soutenir tous les cultes. Selon la maire de secteur, ce sont eux qui font vivre nos quartiers.…
P
Poulitiqueja - l'entretien politique

Aurore Bruna aime s’investir. C’est pour cela qu’elle a fait le grand plongeon dans le monde politique cette année. Avant cela, elle avait déjà été élue à la tête de l’Union générale arménienne de bienfaisance de Marseille (UGAB). Selon elle, l’Arménie est toujours sous pression du couple turco-azèri qui mène une politique de panturquisme agressive. « Depuis un an, les Arméniens d’Artzar sont privés de leur droit de vivre sur leur terre, qui sont les leurs depuis l’Antiquité, comme le montrent le patrimoine culturel et chrétien de cette région », témoignage par excellence du lien entre la terre et les Arméniens. « Un an après le conflit et même 100 ans après le génocide des Arméniens, rien a changé » constate Aurore Bruna. La pression turco-azéri vers l’Arménie reste tragique. L’élue rappelle le soutien belliqueux de la Turquie à l’Azerbaïdjan et les crimes de guerre comme les bombardements sur des civils ou des actes de torture. Des crimes qui se déroulent sous les yeux de la communauté internationale qui, néanmoins, ne bouge pas. Espérant attirer l’attention internationale et obtenir la justice, l’Arménie a saisi la cours internationale de la justice à La Haye . Mais l’Azerbaïdjan a fait exactement la même chose quelque jours après : « un cynisme sans nom » selon Aurélie Bruna. Sans attendre que la vérité soit faite, Aurore Bruna rappelle qu’un mouvement de solidarité internationale a mobilisé les Arméniens partout dans le monde. L’UGAB a mis en place un programme d’aide et envoyé des volontaires qui aident les déplacés. Les organisations comme l’UGAB demandent à la France, l’Union Européenne et aux Nations Unies de reconnaître la République d’Artzak, « car reconnaître, c’est protéger ». Des demandes à nouveau formulées dans le cadre du 30e anniversaire de l’indépendance de l’Arménie, « un anniversaire que, vu le contexte, nous n’avons pas pu fêter joyeusement. » Dans la suite de l’entretien, Aurore Bruna se confie sur ses autres engagements comme conseillère régionale, présidente de la commission Sécurité-Défense de la Région Sud, ou encore comme conseillère municipale, déléguée aux écoles notamment dans les 9e et 10e arrondissements de Marseille. Autant d’engagements à travers lesquels elle veut servir la fraternité au sein de la société.…
Welkom op Player FM!
Player FM scant het web op podcasts van hoge kwaliteit waarvan u nu kunt genieten. Het is de beste podcast-app en werkt op Android, iPhone en internet. Aanmelden om abonnementen op verschillende apparaten te synchroniseren.