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S1E213: Bourse: les titres de petite capitalisation sont-ils morts et enterrés?

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GESTIONNAIRES EN ACTION. Les titres de petite capitalisation ont offert des performances décevantes par rapport à ceux d'entreprises de grande capitalisation au cours de la dernière décennie.

Malgré cela, Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille à Claret, croit que cette catégorie d'actif, qui regroupe les entreprises dont la capitalisation boursière est inférieure à deux milliards de dollars aux États-Unis et de moins de 800 millions de dollars au Canada, a toujours sa place dans les portefeuilles.

«Quand on investit dans les petites capitalisations à long terme, on devrait avoir un rendement qui est considérablement supérieur aux titres de grosse capitalisation pour deux raisons. Premièrement, il est plus facile pour une petite entreprise de croître que pour une autre de grande taille qui est arrivée à maturité. Deuxièmement, les investisseurs exigent habituellement un rendement plus élevé pour récompenser une prise de risque qui est aussi plus importante», explique-t-il.

Or, depuis dix ans, les titres de grande capitalisation ont offert de biens meilleurs rendements, tant aux États-Unis qu'au Canada, au point où Vincent Fournier parle d'hécatombe des titres de petite capitalisation.

«Si on regarde la performance des titres de grande capitalisation, comme le S&P 500 aux États-Unis, on arrive à un rendement annuel moyen de 12,9%, comparativement à 8,75% pour le secteur des petites capitalisations. Au Canada, l'indice S&P/TSX a offert un rendement annuel moyen de 7,2% depuis dix ans, comparativement à seulement 3,6% pour les petites capitalisations», raconte-t-il.

Il concède que dans ce contexte, les investisseurs pourraient être tentés de bouder les titres de petite capitalisation, mais que ceux qui persévèrent seront récompensés lorsqu'un renversement de tendance se produira.

Il soutient qu'un portefeuille bien diversifié pourrait contenir de 10% à 20% de titres de petites capitalisations. «Par contre, étant donné que ce sont des titres qui sont un peu moins suivis par les analystes, c'est un petit peu plus difficile pour un investisseur de se bâtir son propre portefeuille. Il est préférable d'opter pour des gestionnaires professionnels», dit-il.

Aux États-Unis, deux indices boursiers ciblent des entreprises de petite capitalisation, soit le Russell 2000 et le S&P 600. Vincent Fournier dit préférer le S&P 600, puisque les conditions d'inclusion dans l'indice sont plus sévères.

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Malgré cela, Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille à Claret, croit que cette catégorie d'actif, qui regroupe les entreprises dont la capitalisation boursière est inférieure à deux milliards de dollars aux États-Unis et de moins de 800 millions de dollars au Canada, a toujours sa place dans les portefeuilles.

«Quand on investit dans les petites capitalisations à long terme, on devrait avoir un rendement qui est considérablement supérieur aux titres de grosse capitalisation pour deux raisons. Premièrement, il est plus facile pour une petite entreprise de croître que pour une autre de grande taille qui est arrivée à maturité. Deuxièmement, les investisseurs exigent habituellement un rendement plus élevé pour récompenser une prise de risque qui est aussi plus importante», explique-t-il.

Or, depuis dix ans, les titres de grande capitalisation ont offert de biens meilleurs rendements, tant aux États-Unis qu'au Canada, au point où Vincent Fournier parle d'hécatombe des titres de petite capitalisation.

«Si on regarde la performance des titres de grande capitalisation, comme le S&P 500 aux États-Unis, on arrive à un rendement annuel moyen de 12,9%, comparativement à 8,75% pour le secteur des petites capitalisations. Au Canada, l'indice S&P/TSX a offert un rendement annuel moyen de 7,2% depuis dix ans, comparativement à seulement 3,6% pour les petites capitalisations», raconte-t-il.

Il concède que dans ce contexte, les investisseurs pourraient être tentés de bouder les titres de petite capitalisation, mais que ceux qui persévèrent seront récompensés lorsqu'un renversement de tendance se produira.

Il soutient qu'un portefeuille bien diversifié pourrait contenir de 10% à 20% de titres de petites capitalisations. «Par contre, étant donné que ce sont des titres qui sont un peu moins suivis par les analystes, c'est un petit peu plus difficile pour un investisseur de se bâtir son propre portefeuille. Il est préférable d'opter pour des gestionnaires professionnels», dit-il.

Aux États-Unis, deux indices boursiers ciblent des entreprises de petite capitalisation, soit le Russell 2000 et le S&P 600. Vincent Fournier dit préférer le S&P 600, puisque les conditions d'inclusion dans l'indice sont plus sévères.

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