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🎙 Podcast 83-629.fr : Au cœur de la sécurité privée Plongez dans l’univers passionnant et complexe de la sécurité privée avec le podcast 83-629.fr. À travers des analyses juridiques, des décryptages d’actualités et des partages d’expériences, ce podcast est une ressource incontournable pour les professionnels du secteur. Découvrez les enjeux législatifs, les évolutions réglementaires et des cas concrets illustrant les défis du métier. Que vous soyez agent de sécurité, dirigeant d’entreprise ou simplement curieux, chaque épisode vous offre un contenu clair, accessible et opérationnel !
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Dans le secteur de la sécurité privée, les agents sont souvent confrontés à des conditions de travail exigeantes : plannings ajustés à la dernière minute, dépassements des horaires légaux, et non-respect des temps de repos. Ces pratiques, pourtant strictement encadrées par le Code du travail et la convention collective, exposent les entreprises de sécurité à des sanctions sévères lorsque les droits des salariés sont bafoués. Derrière la discrétion de ces professionnels qui assurent la sécurité au quotidien, se cachent parfois des situations de tension et d'abus. Que se passe-t-il lorsque ces manquements deviennent intolérables ? Une affaire récente soulève des questions sur les obligations des employeurs et les recours des salariés face à de telles dérives. Prise d'acte : la Cour d'appel de Montpellier reconnaît les droits d'un salarié lésé Le 8 janvier 2025, la Cour d'appel de Montpellier a rendu une décision éclairante pour les salariés victimes de manquements graves de leur employeur. Un agent de sécurité, en poste depuis un an et demi, avait quitté son emploi en invoquant des abus répétés. La justice a reconnu sa démarche comme une prise d'acte, requalifiant ainsi sa démission en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Une procédure délicate mais efficace, que la Cour a largement détaillée. Prise d'acte : un outil juridique pour les salariés La prise d'acte est une procédure encadrée par le droit du travail. Elle permet à un salarié de mettre fin immédiatement à son contrat lorsqu'il estime que des fautes graves de l'employeur rendent la poursuite de la relation de travail impossible. Cette rupture, examinée par un juge, peut produire deux effets : Licenciement sans cause réelle et sérieuse, si les faits invoqués sont avérés et justifient la rupture. Démission, si les faits sont insuffisants ou non prouvés. Pour réussir une prise d'acte, le salarié doit démontrer la gravité des manquements de l'employeur, qui peuvent concerner le non-paiement des salaires, le non-respect des obligations contractuelles ou légales, ou encore des conditions de travail dégradées. Les faits reprochés à l'employeur Dans cette affaire, l'agent de sécurité avait quitté son poste en décembre 2018 en dénonçant plusieurs manquements graves : Non-paiement des salaires et heures supplémentaires : Selon l'article L. 3242-1 du Code du travail, l'employeur a l'obligation de payer le salaire à échéance. Ici, le salaire de novembre 2018 et des heures supplémentaires sur une année entière n'avaient pas été versés. Plannings transmis en retard : Les horaires étaient communiqués seulement deux jours avant leur application, en violation de l'article L. 3121-47 et des règles fixées par la convention collective de la sécurité privée. Non-respect des durées maximales de travail : Le salarié a travaillé jusqu'à 53 heures sur une semaine (au-delà des 48 heures prévues par l'article L. 3121-20) et n'a pas bénéficié des 11 heures de repos quotidien obligatoires (article L. 3131-1). Promesses d'évolution non tenues : L'employeur avait fait miroiter des promotions qui n'ont jamais été concrétisées, renforçant le sentiment de négligence. Ces éléments ont conduit le salarié à prendre acte de la rupture de son contrat, arguant que la situation était devenue intenable. La décision de la Cour d'appel Après avoir été débouté en première instance par le Conseil de prud'hommes, le salarié a obtenu gain de cause en appel. La Cour a jugé que les faits invoqués étaient suffisamment graves pour justifier une prise d'acte, produisant les effets d'un licenciement sans cause réelle et sérieuse. Indemnités allouées L'employeur, SSP Méditerranée, a été condamné à verser plusieurs sommes, pour un total de 9 498,20 € brut : 1 558,24 € pour le salaire de novembre 2018. 3 186,95 € pour les heures supplémentaires non payées. 318,69 € pour les congés payés liés aux heures supplémentaires. 1 581,91 € d'indemnité compensatrice de préavis. 158,19 € pour les congés payés liés au préavis. 5...…
 
Et si la technologie devenait le nouvel allié des établissements pénitentiaires ? À Nanterre, un dispositif inédit a été déployé pour renforcer la sécurité : des drones patrouillent désormais au-dessus de la prison. Innovation ou surveillance excessive ? Découvrez les enjeux derrière cette initiative. Un drone pour la prison de Nanterre : une révolution sécuritaire en vol Depuis janvier 2025, le ciel au-dessus de la prison de Nanterre est sous surveillance. Trois drones, autorisés par un arrêté préfectoral, patrouillent pour sécuriser l'établissement. Une technologie qui intrigue autant qu'elle questionne sur ses limites et ses impacts. Quand la technologie survole le carcéral Trois modèles bien précis de drones - UAS-FR-345960, UAS-FR-2896205, et UAS-FR-232099 - ont reçu l'autorisation de survoler l'établissement pénitentiaire jusqu'au 31 décembre 2025. Ces appareils ne sont pas de simples gadgets. Certifiés, contrôlés et soumis à des normes strictes, ils répondent aux exigences du scénario S3 défini par la réglementation française. Le scénario S3, c'est quoi exactement ? C'est un cadre d'utilisation des drones civils en zone peuplée. Il autorise des vols à vue (VLOS) ou à proximité (EVLOS) avec des restrictions claires : Pas de survol de foules ou de tiers non impliqués dans la mission. Distance de sécurité au sol obligatoire pour limiter les risques en cas de panne ou de crash. Une altitude maximale de 120 mètres, idéale pour une surveillance efficace. En clair, les drones ne s'aventurent pas n'importe où et doivent rester à portée de contrôle immédiat. Ce cadre garantit une utilisation responsable, adaptée à un environnement aussi sensible qu'une prison. Une mission : surveiller, prévenir, réagir Ces drones ne volent pas pour le plaisir. Leur mission est claire : répondre aux besoins opérationnels d'un lieu où la sécurité est un enjeu quotidien. Voici leurs principales tâches : 1. Observer les mouvements collectifs de détenus : repérer les attroupements et anticiper d'éventuelles émeutes. 2. Appuyer lors des refus de réintégration : surveiller les groupes de détenus récalcitrants et transmettre des images en temps réel. 3. Capturer des relevés visuels : prendre des photos et vidéos des zones sensibles ou des incidents pour les enquêtes internes. 4. Assurer une veille préventive : surveiller les espaces extérieurs pour détecter des comportements suspects ou des tentatives d'intrusion. Grâce à ces fonctions, les drones offrent une vue aérienne précise et rapide, réduisant les risques pour les agents présents sur le terrain. Des pilotes triés sur le volet Pour piloter ces drones, pas question d'improviser. Seuls des télépilotes formés et habilités peuvent prendre les commandes. Ils doivent : Être désignés par la Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires (DISP). Posséder une certification reconnue par la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC). Coordonner chaque vol avec les autorités aériennes locales, notamment la tour de contrôle de l'héliport d'Issy-les-Moulineaux ou Le Bourget. Chaque opération est encadrée : un seul drone en vol à la fois et un enregistrement systématique des missions dans un registre détaillé. Entre innovation et contraintes Si ces drones apportent une solution technologique, ils évoluent sous une stricte surveillance. Les conditions d'utilisation sont rigoureusement encadrées : Interdiction de survoler les tiers : aucun drone ne peut s'approcher d'une zone où des personnes non concernées se trouvent. Zone d'exclusion des tiers : à basse altitude (moins de 50 mètres), une zone sécurisée doit être aménagée pour éviter les accidents en cas de crash. Adaptation aux conditions météo : les vols sont interdits par vent fort, rafales ou précipitations. Traçabilité obligatoire : chaque vol doit être consigné avec sa date, son objectif et le nom du télépilote. Un futur modèle ? Autorisé jusqu'à fin 2025, ce dispositif de surveillance aérienne constitue un test grandeur nature pour le ministè...…
 
Dans le 16e arrondissement de Paris, l'Université Paris Dauphine-PSL, réputée pour son excellence académique et son ouverture internationale, renforce son dispositif de sécurité. L'établissement recrute un agent de sûreté, un poste important pour garantir la sérénité de ses étudiants, enseignants et personnels. Un rôle central dans la vie du campus Sous l'autorité directe du chef du service Sécurité-Sûreté, l'agent recruté interviendra sur plusieurs fronts. À la fois gardien de la tranquillité et acteur de la prévention, il sera en charge de filtrer et contrôler les accès au campus, gérer les rondes de surveillance, et intervenir en cas de besoin, notamment pour des secours aux personnes. Au programme : 70 % d'accueil et de contrôle d'accès : vérification des identités, enregistrement des visiteurs, gestion des badges et surveillance des parkings. 20 % de surveillance générale : rondes régulières et traitement des anomalies grâce aux outils technologiques mis à disposition. 10 % de secours et d'assistance : interventions sanitaires en coordination avec l'infirmerie et appels aux secours externes si nécessaire. Un cadre professionnel exigeant mais enrichissant Ce poste, au cœur d'une université prestigieuse, s'adresse à des profils rigoureux et réactifs. Détenir un CQP APS/TFP APS est une condition incontournable. Travailler en équipe, savoir analyser rapidement une situation critique et rester calme face aux imprévus sont également des qualités essentielles pour réussir dans ce rôle. Les spécificités du poste incluent une présence sur le terrain, parfois face à des risques d'intrusion ou d'agression. Une disponibilité en dehors des horaires classiques pourra aussi être requise, notamment pour des événements exceptionnels organisés sur le campus. Un emploi avec des avantages significatifs Avec un salaire brut mensuel de 1850 €, une prime annuelle au mérite et 45 jours de congés payés, l'Université Paris Dauphine offre des conditions de travail attractives. Le poste, à temps plein (35 heures par semaine, de 12h à 20h), s'inscrit dans un cadre professionnel valorisant : formations, développement des compétences, crèche, billetterie loisirs, et salles de sport figurent parmi les nombreux avantages proposés. Paris Dauphine : un campus engagé pour l'excellence et l'inclusion Faire partie de l'équipe sécurité de Paris Dauphine, c'est intégrer une institution dynamique, tournée vers l'international, et classée parmi les 50 meilleures universités au monde. Consciente de son rôle sociétal, l'université met un point d'honneur à promouvoir l'égalité et la diversité au sein de ses équipes. Une opportunité à saisir Vous avez jusqu'au 18 mars 2025 pour postuler à ce poste d'agent de sûreté et participer activement à la sécurité d'un lieu d'enseignement emblématique, où la rigueur professionnelle s'allie à la quête de savoir. Pour candidater, il est temps de faire le premier pas vers un avenir au service de la sécurité et de la tranquillité. Agent de sûreté F/H - Offre d'emploi, Paris Postulez à l'offre d'emploi Agent de sûreté F/H chez UNIVERSITE PARIS DAUPHINE - Paris. Candidatez pour un poste de Contractuel de catégorie C. Emploipublic.fr…
 
Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2025, devant le club Le Sirin, situé au Pontet, une altercation tourne au drame. Une rixe impliquant plusieurs personnes éclate, et un agent de sécurité intervient pour calmer la situation. Dans le feu de l'action, il porte des coups à un homme qui, peu de temps après, succombera à ses blessures à l'hôpital. Aujourd'hui, l'agent de sécurité se retrouve sous le coup de la justice, poursuivi pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le déroulé des faits : une soirée ordinaire qui dégénère Selon les premières investigations, la soirée avait débuté normalement au Sirin, un établissement apprécié pour ses soirées festives. Cependant, en fin de nuit, des tensions émergent devant l'entrée. Plusieurs personnes s'affrontent verbalement, et la situation dégénère en affrontement physique. L'agent de sécurité, un boxeur de haut niveau habitué à gérer ce genre d'incidents, intervient pour séparer les protagonistes. Dans l'agitation, il assène des coups à un homme originaire de Cavaillon, participant à la rixe. Les témoins décrivent une scène de chaos, où il devient difficile de distinguer l'agresseur de celui qui se défend. La victime, après avoir chuté au sol, est grièvement blessée et prise en charge par des tiers qui l'amènent d'urgence à l'hôpital d'Avignon. Elle y décède quelques heures plus tard. Une mise en accusation rapide Les enquêteurs n'ont pas tardé à convoquer l'agent de sécurité pour recueillir sa version des faits. Placé en garde à vue, l'agent a expliqué avoir agi pour défendre l'intégrité des personnes présentes, tout en niant toute intention de causer la mort. Il aurait également souligné le caractère violent de l'affrontement initial et affirmé avoir été dépassé par l'intensité des événements. Le mardi 21 janvier, le parquet d'Avignon décide de déférer l'agent de sécurité devant un juge d'instruction. Il n'est pas poursuivi pour meurtre, mais pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner, une qualification juridique qui met l'accent sur l'intentionnalité limitée de l'acte. Cette décision reflète une certaine prudence des autorités judiciaires, qui cherchent à établir si les coups portés étaient justifiés dans le contexte d'une légitime défense. Un placement sous contrôle judiciaire À l'issue de son audition, l'agent est placé sous contrôle judiciaire, ce qui signifie qu'il reste libre mais sous des restrictions imposées par la justice. Il lui est notamment interdit de quitter la région sans autorisation et de reprendre son poste au sein de l'établissement Le Sirin. Ces mesures visent à garantir qu'il ne puisse influencer les témoins ou compromettre l'enquête en cours. Les enjeux juridiques : légitime défense ou usage disproportionné de la force ? La défense de l'agent repose sur la notion de légitime défense, définie par l'article 122-5 du Code pénal. Ce dernier indique que la légitime défense est reconnue si l'acte est nécessaire pour repousser une agression immédiate et si la riposte est proportionnée à la menace. Dans ce cas, plusieurs questions se posent : L'agent était-il lui-même en danger ou protégeait-il une autre personne ? La menace était-elle suffisamment grave pour justifier les coups portés ? L'utilisation de la force était-elle proportionnée à la situation ? L'élément aggravant dans cette affaire est que l'agent de sécurité est un boxeur expérimenté. La justice pourrait estimer qu'il aurait dû faire preuve d'une maîtrise supérieure dans la gestion de la confrontation. En revanche, son avocat pourrait argumenter que le contexte d'une rixe générale rendait impossible une évaluation précise du niveau de menace. Les conséquences potentielles Si la légitime défense n'est pas retenue, l'agent risque une condamnation pour violences volontaires ayant entraîné la mort, une infraction passible de 15 ans de réclusion criminelle. Cependant, si l'enquête démontre que son acte était strictement nécessaire et proportionné, il pourrait être e...…
 
Le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) peut-il se tromper au point de priver un agent de sécurité de sa carte professionnelle pendant des années ? Cet épisode explore cette question cruciale, mettant en lumière les implications d'une erreur d'appréciation qui empêche un professionnel de la sécurité d'exercer son métier. Découvrez les conséquences pour l'agent touché, ainsi que les responsabilités de cette autorité régulatrice. Une analyse des répercussions juridiques et professionnelles est proposée, révélant les lourdes fautes qui peuvent survenir dans le secteur de la sécurité privée.…
 
Dans cet épisode, nous analysons la récente nomination de Nicolas Daragon comme ministre délégué chargé de la Sécurité du quotidien et les malentendus entourant l'idée d'un ministère dédié à la sécurité privée. Alors que certains médias et réseaux sociaux prétendent que ce secteur aurait désormais « son propre ministère », nous examinons les faits pour démystifier cette affirmation flatteuse. Le décret n° 2024-988 du 7 novembre 2024 confère à Nicolas Daragon des responsabilités en matière de sécurité privée, mais toujours sous l'autorité du ministre de l'Intérieur. Nous explorons comment la sécurité privée s'inscrit dans un ensemble plus large de missions, dont la sécurité civile, la sécurité routière et la coopération avec les polices municipales. Nous discutons également de la composition du cabinet de Nicolas Daragon, soulignant que seul un membre, François Jouffroy, est spécifiquement chargé de la sécurité privée, ce qui démontre que ce secteur n'est pas une priorité exclusive. Enfin, nous abordons la perception publique et le contexte historique, en évoquant le Délégué Interministériel à la Sécurité Privée (DISP) de 2010, pour mieux comprendre la situation actuelle.…
 
À quel moment une personne est-elle réellement considérée comme privée de sa liberté ? Où s'arrête le rôle des agents de sécurité et où commence celui des forces de l'ordre ? Ces questions sont au cœur de nombreuses situations sur le terrain et trouvent des réponses souvent nuancées dans les salles de tribunal. Lorsqu'un individu est appréhendé par des agents de sécurité, quelle est la portée légale de leur intervention ? Les horaires consignés par ces derniers ont-ils une valeur juridique dans le cadre d'une véritable procédure ? Et surtout, comment s'assurer que l'équilibre entre la sécurité et les droits individuels soit respecté ? Autant de questions qui prennent une dimension particulière dans une récente affaire jugée, où le rôle des agents de sécurité et la précision des faits documentés ont été scrutés de près.…
 
Dans cet épisode, nous explorons la question complexe du licenciement d'un salarié pour des faits commis en dehors des lieux et temps de travail. Une employée est licenciée pour faute grave après un vol dans un magasin affilié à son employeur. Cette affaire met en lumière des enjeux cruciaux pour les entreprises, notamment celles appartenant à un même groupe. Comment le contexte et le moment du licenciement peuvent-ils influencer la décision finale ? Découvrez les implications financières d'un manque de rigueur dans le processus de licenciement, qui a coûté plus de 13 000 € à l'employeur.…
 
Un simple passage en caisse peut-il se transformer en affaire judiciaire ? Cet épisode explore les limites de l'information et de la conservation des preuves par vidéosurveillance dans le secteur commercial. Lorsque un agent de sécurité en repos se voit accusé de vol dans un magasin Leroy Merlin, il demande l'accès aux enregistrements pour prouver son innocence. Cependant, le refus de fournir ces images et les enjeux liés à leur conservation mènent l'affaire vers des rebondissements inattendus. Découvrez comment la justice a tranché dans cette affaire et les implications que cela pourrait avoir pour le secteur de la sécurité. Un récit captivant sur la justice, la technologie et les droits des employés.…
 
L'utilisation d'armes non létales par les agents de sécurité suscite un vif débat dans le domaine de la sécurité privée, notamment en raison des implications légales et des enjeux de responsabilité. Une affaire, qui s'étire depuis plusieurs années, a récemment été relancée devant la justice française. Ce dossier interroge sur la légalité et les conséquences de l'utilisation d'un pistolet à impulsion électrique par un agent de sécurité dans un contexte où la situation a pris une tournure tragique. Dans cette affaire, la responsabilité des acteurs de la sécurité privée est remise en question, tant sur le plan des procédures que de l'utilisation de certains équipements. Le cadre juridique encadrant ces pratiques, ainsi que les demandes de contre-expertise, ont été des points centraux de ce dossier, révélant des zones d'ombre sur l'encadrement des outils d'intervention.…
 
Le projet de loi de finances pour 2025 a mis en lumière des divergences au sein du Rassemblement National concernant le financement du CNAPS. Le député Julien Rancoule propose d'augmenter le budget pour renforcer le contrôle et accompagner la croissance du secteur de la sécurité privée. À l'inverse, certains de ses collègues, comme Matthias Renault, défendent une réduction du budget pour réintégrer certaines missions sous le ministère de l'Intérieur, arguant que cela améliorerait l'efficacité et la transparence. Ces visions opposées soulignent un débat crucial sur l'avenir du CNAPS et la gestion de la sécurité privée en France.…
 
Le procès de Tibor Vass a pris fin après neuf années de batailles judiciaires, avec une relaxe totale des charges de corruption et de trafic d'influence qui pesaient contre lui. Ce verdict met en lumière la complexité de l'affaire, qui a également vu la condamnation de l'ancien préfet Alain Gardère pour des pratiques douteuses au sein de l'administration du CNAPS. Tout au long de cette épreuve, Tibor Vass a contesté fermement les accusations, soulignant la conformité de ses activités avec les réglementations en vigueur. La décision de justice met également en avant le rôle crucial des médias dans le traitement des affaires judiciaires et leur responsabilité dans la préservation de la présomption d'innocence. Alors que la justice a tranché, une question demeure : les médias qui ont critiqué Vass mettront-ils à jour leurs récits pour refléter cette évolution majeure ? Pour Tibor Vass, cette relaxe marque le début d'un nouveau chapitre, avec l'intention de partager son expérience et de remercier ceux qui l'ont soutenu durant cette épreuve.…
 
Quelles sont les conséquences pour une entreprise de sécurité privée qui néglige la vérification des titres de séjour de ses salariés étrangers ? Quels risques encourt-elle, même si aucun salarié n'est en situation irrégulière ? Le CNAPS, à travers une décision récente, rappelle avec fermeté les obligations des employeurs en matière de conformité administrative. Découvrez les exigences légales et les étapes précises que toute entreprise doit suivre pour rester en règle.…
 
Le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) a récemment pris une décision marquante en matière de discipline professionnelle, soulignant son intransigeance face aux manquements éthiques et réglementaires dans le secteur de la sécurité privée. Un agent de sécurité a été sévèrement sanctionné, recevant une interdiction d'exercer toute activité de sécurité privée pendant 7 ans, assortie d'une amende de 7 500 euros. Cette sanction fait suite à de graves infractions à la réglementation et à une déloyauté avérée envers son employeur. Ce cas met en lumière l'importance du respect des obligations déontologiques et des exigences de transparence, essentielles pour maintenir la confiance du public et des partenaires envers les professionnels de la sécurité privée.…
 
Le CNAPS a récemment pris une décision marquante en infligeant une sanction sévère à un dirigeant d'une entreprise de sécurité privée. Cette mesure met en lumière les exigences rigoureuses imposées aux sociétés employant des agents cynophiles. Dans cet épisode, nous analysons un manquement particulier observé, essentiel dans le domaine de la sécurité cynophile, qui a joué un rôle déterminant dans la sanction du CNAPS. Nous examinons pourquoi cet aspect de conformité est crucial dans l'évaluation des pratiques des entreprises de sécurité cynophile. Enfin, nous discutons des répercussions de cette décision pour l'ensemble du secteur de la sécurité privée, soulignant l'importance d'une conformité stricte pour éviter de telles sanctions.…
 
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